Un budget en chute libre
Le RN et le PS ont acté une baisse de 1,08 milliard d'euros du budget de l'enseignement supérieur et de la recherche. Cette réduction ramène le budget à son niveau de 2020, déjà extrêmement insuffisant à l'époque.
Une hypocrisie politique flagrante
Quelle hypocrisie de la part de ces partis ! Comment croire des responsables politiques qui, tout en se disant inquiets pour l’état de la recherche, enterrent sans vergogne de grands programmes portés par nos prestigieux organismes comme le CNRS (Centre national de la recherche scientifique) ou par nos universitaires moins médiatisés ?
La trahison des engagements internationaux
Où sont passés les défenseurs de la stratégie de Lisbonne, qui ambitionnait (timidement) de porter le budget dédié à l’enseignement supérieur et à la recherche (ESR) à 3 % du PIB ? Certainement pas au PS ni au RN. Ces partis ne respectent ni la recherche ni les engagements internationaux de la France.
Un décrochage face à nos voisins européens
Alors que notre pays devrait tripler son budget consacré à la recherche pour rester compétitif et honorer ses engagements dans les programmes internationaux, ce choix budgétaire est un véritable désastre. À titre de comparaison, l’Allemagne consacre plus de 100 milliards d’euros à la recherche et au développement, soit plus de 3 % de son PIB.
Conséquences et perspectives
En votant ce budget, le PS et le RN contribuent à trahir les chercheurs et à affaiblir la parole de la France sur la scène internationale. Ils tournent également le dos aux objectifs fixés par la stratégie de Lisbonne.
Voilà où mène l’absence d’une censure gouvernementale :
un affaiblissement durable du secteur crucial qu’est la recherche scientifique. Cette version corrige les fautes grammaticales, clarifie les idées et améliore le style pour une meilleure lisibilité.